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Photo du rédacteurPhilippe Counson

Le jeune gardien du Standard Tom Poitoux, qui évolue cette saison principalement au sein de l’équipe SL16, nous a offert une paire de gants. Merci à lui pour ce joli geste.




Tom Poitoux est né le 4 juin 2005.

En équipe de jeunes, il évolue tout d’abord à Andenne, puis à l’Union Namur, et enfin à Wanze Bas-Oha, avant de rejoindre le Standard en 2016.

Il dispute 16 rencontres avec l’équipe du SL 16 en D1B lors de la saison 2022-2023.

Cette saison, il n’a encore disputé que 5 rencontres avec cette équipe. Il est vrai que le club dispose de nombreux gardiens de talent et opte pour une certaine rotation.

 


Il est appelé en équipe nationale dans toutes les catégories d’âge. En septembre et octobre 2023, il est notamment appelé pour quatre rencontres avec les U19. Il sera deux fois titulaire et prendra place deux fois sur le banc.

Nouvelle arrivée dans le monde du foot, avec cette vareuse de Théo Pierrot, actuel joueur du Patro Eisden.

 


Théo Pierrot est né le 1 janvier 1994 à Nancy

Il fait ses classes au FC Metz, en équipes de jeunes, puis dans l’équipe réserve.

Le 1 juillet 2015, il rejoint le club de Seraing, club satellite du club messin.

Il y restera 6 saisons complètes avant d’être transféré en janvier 2022 à Lommel SK.

 

Avec le club serésien, il connaît des saisons très contrastées, avec des descentes en 1ère nationale, des montées en D1B, puis en D1A … Pour ce club, il dispute 167 matchs, pour 13 buts et 2 assists, en évoluant au centre du jeu, soit en défense, soit en milieu défensif. Il sera capitaine à de nombreuses reprises.

 

A Lommel, il dispute 9 matchs pour terminer la saison de D1B et inscrit un but

Lors de la saison 2022-2023, il joue encore 26 matchs avec le club campinois et inscrit un but

 

Depuis cette saison, Théo joue au Patro Eisden Maasmechelen avec lequel il a déjà disputé 16 rencontres.

 



Patro Eisden Maasmechelen

Le Koninklijke Patro Eisden Maasmechelen est un club belge de football basé à Maasmechelen. Porteur du "matricule 3434", ce club évolue en 2023-2024 en D1B.

 

Historique

1935 : fondation de PATRO EISDEN

1942 : affiliation à l'URBSFA de PATRO EISDEN

1992 : changement de dénomination de PATRO EISDEN (3434) en KONINKLIJKE PATRO EISDEN 1998 : changement de dénomination de KONINKLIJKE PATRO EISDEN (3434) en KONINKLIJKE MAASLAND MAASMECHELEN

2001 : changement de dénomination de KONINKLIJKE MAASLAND MAASMECHELEN (3434) en KONINKLIJKE PATRO MAASMECHELEN

2005 : Le club est mis en liquidation et devra commencer la saison suivante en Division 4. Changement de dénomination de KONINKLIJKE PATRO MAASMECHELEN (3434) en KONINKLIJKE PATRO EISDEN MAASMECHELEN

 



Palmarès

5 fois champion de Division 3

2 fois champion de Promotion et 1 fois de D2 Amateur

1 fois champion en D1 amateur



Le club dispute une seule saison au plus haut niveau, lors de la saison 1960-1961.

Dans l’histoire du club, on retrouve des joueurs comme Vital Borkelmans, Lei Clijsters, Nico Claesen, Marvin Ogunjimi ou Stef Peeters.


Le site du club : https://patroeisden.com/

 

 

Maxime Busi devient un habitué de notre projet puisqu’il avait déjà répondu présent lors de la précédente édition, en nous offrant d’abord un maillot du Sporting de Charleroi, puis un de son club suivant, l’AC Parma.

Il nous offre cette année une belle vareuse de son club actuel, le Stade de Reims.



Maxime Busi est né à Liège, le 14 octobre 1999.

 

Après des débuts à Ivoz-Ramet, il rejoint le Standard où il évoluera en équipe de jeunes jusqu’en 2013.

 

Il est alors transféré à Saint-Trond, il évoluera 5 saisons avant de rejoindre le Sporting de Charleroi en juillet 2018.

 

C’est avec les Zèbres qu’il joue son premier match en professionnel, le 26 septembre 2018, à l’occasion d’une rencontre de Coupe de Belgique face au SC Eendracht Alost. Il fait sa première apparition en Jupiler Pro League le 9 février 2019, en étant titularisé contre le KV Ostende (1-1). Il disputera 10 rencontres lors de cette saison.

 

Lors de la dernière saison 2019-2020, il devient titulaire indiscutable au poste d’arrière droit. Il dispute 21 rencontres de championnat et 3 de Coupe de Belgique. Le club termine troisième du championnat 2019-2020.



 

Il est sélectionné pour la première fois chez les Diablotins de Johan Walem en septembre 2019, contre la Bosnie-Herzégovine.

 



Il débute le championnat 2020-2021 avec le Sporting de Charleroi, mais le 5 octobre 2020, Maxime Busi est transféré à Parme pour une somme estimée à 7,5 millions d’euros.

 

Blessé juste avant son transfert, il doit patienter quelques semaines avant de pouvoir refouler les pelouses. Il fait ses grands débuts en série A, le 22 novembre lors d’un déplacement à la Roma. Il dispute 24 rencontres de championnat et 2 rencontres de Coupe d’Italie.

Malheureusement, le club descend en série B à la fin de la saison.



 S’il débute la saison suivante à Parme, il est prêté au Stade de Reims en janvier 2022. Il dispute 18 matchs de Ligue 1 lors de cette deuxième partie de saison et inscrit contre le Stade Rennais, le 9 avril 2022.



 

En fin de saison, le club lève l’option et Maxime reste à Reims.

La saison dernière, il dispute 21 rencontres, mais l’actuelle saison commence mal pour lui, avec une blessure à la cuisse que le tient éloigné des terrains jusque fin octobre. Il effectue sa rentrée le 28 octobre contre Lorient.

 

 

 

Stade de Reims


Tout commence au début du XXe siècle… Fin 1910, le comte Maxence Melchior de Polignac fonde la Société Sportive du Parc Pommery pour réunir et fédérer les ouvriers de la maison de champagne Pommery.

 

Le 18 juin 1931, le Stade de Reims naît et succède à la Société Sportive du Parc Pommery. Un nouveau nom pour faire de cette association sportive d’entreprise, le représentant de Reims et des Rémois au plus haut niveau. Les joueurs portent alors un maillot tango-orange orné d’un scapulaire noir. Ils disputent leur premier match le 23 août 1931 et gagnent 7-2 face au FC Reims. L’aventure débute !

 

Après avoir décroché le titre de champion de France amateur en 1935, le club évolue, est promu en deuxième division et devient un club de football professionnel. Pour sa première participation, il termine onzième du championnat.

 

Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, Reims est promu en première division et connaît ses grandes heures de gloire. Lors de cette saison 48-49, il remporte son premier titre de Champion de France de D1. Le début d’une longue série…

 

Après le Championnat, pourquoi pas la Coupe ? Le SDR remporte la Coupe de France pour la première fois en 1950 en s’imposant face au RC Paris 2-0… deux buts inscrits dans les 10 dernières minutes de la rencontre !

 

Le palmarès des Stadistes commence à s’élargir. Devant le FC Sochaux, ils empochent un deuxième titre de Champion de France de D1 en 1953 auquel s’ajoute une Coupe Latine, remportée aux dépens des Italiens du Milan AC (3-0) avec, notamment, un doublé d’un certain Raymond Kopa…

 

Nouveau titre en 1955.

 

En 1956, la Coupe Latine a laissé place à la Coupe des Clubs Champions (aujourd’hui Ligue des Champions). Reims est finaliste de la compétition face au Real Madrid et mène 2-0 après 10 minutes de jeu, avant de finalement s’incliner 4-3 face aux Espagnols. L’exploit était pourtant proche…

 

En 1958, c’est le doublé pour Reims ! Les Stadistes remportent la Coupe de France face à Nîmes et le Championnat de France de D1 devant… les Crocos, Monaco et Angers. Avec 34 buts en 34 matchs, Just Fontaine est le meilleur buteur du championnat !

 

A nouveau opposé au Real Madrid en Coupe des Clubs Champions 1959, le SDR doit faire face à sa bête noire. Mais l’histoire se répète et les Rémois s’inclinent 2-0 à Stuttgart… Artilleur le plus efficace de la compétition (10 buts), Just Fontaine ne parvient pas à trouver les filets en finale.

 

 

Onze ans après le premier titre, le Stade de Reims est sacré pour la cinquième fois Champion de France de D1 en 1960 puis une sixième fois en 1962.

 

Le club est relégué en deuxième division en 1964, puis les Rémois empochent un titre, celui de Champion de France de Division 2 en 1966.

 

De retour parmi l’élite dans les années 1970, le Stade de Reims ne parvient pas à retrouver son éclat d’antan malgré les exploits de la star argentine Carlos Bianchi, symbole de l’époque « Tango » des Rouge et Blanc, caractérisée par sa filière de joueurs sud-américains (Delio Onnis, César Laraignée, Santiago Santamaria).

 

Le championnat de France féminin est créé en 1974 et, évidemment, le Stade de Reims qui, comme les garçons à la grande époque, constitue l’ossature de l’équipe de France, truste les titres. Les Rémoises sont ainsi sacrées championnes de France en 1974-75, 1975-76, 1976-77, 1979-80 et 1981-82 !

 

Sujet à des soucis financiers considérables dans les années 1990 et à un dépôt de bilan, le SDR repart en division d’honneur Nord-Est et doit grimper les échelons un part un pour espérer retrouver le haut niveau… Les Rémois remportent en 2024 leur premier titre depuis 1965 en devenant Champions de National devant le Stade Brestois.

 

33 ans après, le club retrouve Ligue 1 en 2012 ! Le Stade termine deuxième du championnat et retrouve l’élite du foot français, mais connaît à nouveau la descente à la fin de la saison 2015-2016.

 



En 2018, au terme d’une saison record (88 points, 28 victoires, + 50 de différence de buts) les Rouge et Blanc deviennent Champions de France de Domino’s Ligue 2 ! Cette saison-là, le SDR survole le championnat et impressionne par son efficacité… au point de terminer avec 15 points d’avance sur son dauphin.

 

Depuis lors, le club est présent en Ligue 1. Il est actuellement entraîné par le belge Will Still.



 

Pour tout connaître sur le club : https://www.stade-de-reims.com/

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